Quelles bonnes résolutions prendre côté running pour la nouvelle année ?

Manon
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25 minutes
Sommaire
Se fixer des objectifs réalisables et qui nous font profondément vibrer ❤️🔥
Suivre un plan d’entraînement adapté à nos objectifs pour nous donner toutes les chances de les réussir 💁🏽♀️
Enfin effectuer nos footings en endurance fondamentale et plus en tempo 🙏
Délaisser nos mauvaises habitudes de départs de course trop rapides (qui nous font d’emblée regretter notre entrain) 🧨
Arrêter de vouloir tester du nouveau matériel ou des ravitaillements inédits en course 🤡
Ne plus pester quand on est dans le dur et envisager « l’échec » autrement (ce qui est également valable dans la vie quotidienne, au travail, etc.) 🙈
Penser davantage au « sport santé »/bien-être et moins à la performance 🧘
Effectuer quelques entraînements sans musique ni podcast dans les oreilles pour éprouver sa véritable motivation 🍃
Arrêter de vouloir convaincre tout le monde que la course à pied est le meilleur sport au monde (non, ça, on peut continuer) 😈
Réussir à tenir ses résolutions running (exemples, méthodes et conseils non-sollicités) 👀

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Ah, la nouvelle année et ses bonnes résolutions ! Lorsqu'un nouveau cycle débute, nous sommes tous et toutes pareil(le)s : plein d’envie et d’entrain, disposé(e)s à nous faire des promesses et à nous fixer des engagements en matière de recyclage, d’écologie, de carrière, ou de priorités personnelles et sportives… Mais entre prendre de bonnes résolutions — à propos de course à pied, en l'occurrence ici — et les tenir, il y a tout un tas de bonnes excuses et la vie qui bat son plein, tout simplement. Dans cet article, on te donne un peu d’inspiration quant aux bonnes résolutions qu’il nous semble judicieux d’avoir en tête en tant que coureur(se). Évidemment, libre à toi d’en choisir quelques-unes… ou de toutes les réfuter ! Après tout, adoucir ton petit caractère ne fait peut-être pas partie des choses que tu souhaites changer en 2026 🐷. Allez, on rigole. Qui aime bien, châtie bien. Et nous, on t’aime beaucoup. 🫶
Se fixer des objectifs réalisables et qui nous font profondément vibrer ❤️🔥
Soyons honnêtes, c’est notre défaut commun à tou(te)s : les objectifs toujours plus grands que l’entraînement que nous sommes en mesure de fournir nous font tout particulièrement vibrer. Tiens, par exemple : tu es un(e) adepte du 10 kilomètres, et voilà que tu souhaites soudainement t’inscrire à un ultra-trail de 170 kilomètres. Oui mais non. Ça ne fonctionne pas ainsi. Et surtout, tu ne peux pas y arriver de manière sécuritaire en une seule saison. Cela reviendrait en effet à bafouer le principe de progressivité cher à nos cœurs (autrement dit, d’augmentation progressive de ton kilométrage hebdomadaire).
Évidemment, on préfère calmer nos ardeurs en te disant que tu peux y arriver (surtout quand on sait combien tu as le chic de vouloir prouver aux gens qu’ils ont tort). Nous n’avons aucun doute sur ta capacité à accomplir tes objectifs. Le point sur lequel nous insistons, et qui entre purement dans ton propre intérêt, c’est que pour préserver ta santé osseuse, articulaire, musculaire et mentale (entre autres), il est préférable de te fixer cet objectif à long terme, et pas au cours des six prochains mois. Ainsi, ta saison 2026 peut être orientée vers un objectif semi-marathon et marathon, ta saison 2027 vers des courses de 80-100 kilomètres, et ta saison 2028 vers de l’ultra-trail. En procédant ainsi, tu t’assures une progression intelligente : tu éloignes de toi le risque de blessure et conserve ton plaisir de courir sans faire une overdose de kilomètres.
PS : En tant que femme, je sais combien il est difficile de prévoir une saison en fonction d’une potentielle grossesse et d’un post-partum. On a ainsi l’impression de sans cesse repousser ses objectifs sportifs, de « sacrifier » sa pratique au profit de sa famille. Mon conseil : s’armer de patience, croire en soi et bien s’entourer. Car si tout finit par passer, le temps pour soi, lui, n’attend pas. ❤️

Suivre un plan d’entraînement adapté à nos objectifs pour nous donner toutes les chances de les réussir 💁🏽♀️
Qui ne s’est jamais inscrit(e) à une course à la dernière minute, ne s’est jamais entraîné(e) spécifiquement pour la distance de la course qu’il/elle s’apprête à courir, ou bien a débuté un plan d’entraînement, mais beaucoup trop proche de la date de sa compétition ? Honnêtement, on peut tous et toutes plaider coupables, non ? 😂 Trêve de plaisanterie. Parce que nous apprenons de nos erreurs, nous savons désormais combien nous ne sommes pas (du tout) en mesure de nous plaindre lorsque nous n’atteignons pas nos objectifs. Et d’ailleurs, peut-être as-tu déjà remarqué qu’un objectif à côté duquel nous passons mais pour lequel nous nous sommes entraîné(e)s n’a pas la même saveur qu’un objectif atteint sans entraînement ? Tandis que pour le premier, on sait rebondir et adoucir sa peine en se disant que les efforts fournis peuvent être réinvestis ; pour le second, c’est le sentiment de hold-up qui prévaut : bien sûr, on est fier(ère) de soi, mais on se dit tout de même qu’on aurait pu faire beaucoup mieux avec une préparation adéquate.
En somme, si tu souhaites prendre cette bonne résolution running pour cette nouvelle année, sache que l’on ne regrette jamais de s’entraîner à la hauteur de ses ambitions et de l’objectif qui nous attend. C’est se montrer du respect à soi, et envers la course à laquelle nous avons souscrit.
Enfin effectuer nos footings en endurance fondamentale et plus en tempo 🙏
Celles et ceux qui courent savent combien il est parfois plus difficile d'évoluer en endurance fondamentale que de respecter son allure marathon, par exemple. En effet, il peut sembler contre-productif, voire contre-intuitif, de se freiner lorsqu’on sait pertinemment que l’on peut aller plus vite. Cette idée entre en collision avec la logique de croissance exponentielle que l’on veut faire passer comme étant « normale » dans toutes les sphères de nos vies, y compris sportive. Histoire de grossir le trait, cela revient à dire que dormir est inutile, que c’est une perte de temps ; alors qu’on sait combien le sommeil est important, notamment pour la régénérescence musculaire, la fraîcheur intellectuelle et la bonne humeur. L’endurance fondamentale, c’est dormir en courant : autrement dit, être productif(ve) tout en se reposant, voire en ayant l’impression de ne rien faire du tout. L’endurance fondamentale est une allure essentielle à travailler pour solliciter le geste propre à la course à pied tout en limitant la fatigue musculaire, tendineuse et articulaire. C’est une parenthèse au cours de laquelle la performance ne rime plus avec vitesse, mais avec extrême lenteur. Sachons savourer cet instant comme il se doit, c’est la clé de nos succès à venir (eh oui, tout ce que tu gagneras à courir constamment vite, c’est de te blesser, de te fatiguer physiquement et de te lasser psychologiquement).
Délaisser nos mauvaises habitudes de départs de course trop rapides (qui nous font d’emblée regretter notre entrain) 🧨
C’est une « erreur de débutant(e) » tant elle peut sembler pleine de fougue et dépourvue d’expérience, et pourtant, nombreux(ses) sont les coureur(se)s assidu(e)s à s’y laisser piéger, et ce, malgré le fait que s’en passer faisait initialement partie de leurs bonnes résolutions running de l’année précédente 🫠. À croire que malgré toute la bonne volonté du monde, nulle ne peut résister à cette pulsion complètement déraisonnable consistant à s’épuiser sur quelques centaines de mètres, pour ensuite amèrement le regretter jusqu’à la ligne d’arrivée. Et si, cette année, nous nous accordions enfin un brin de sagesse ? Alors oui, cela induit forcément d’accepter de vieillir un peu, d’envisager la course comme une épopée à gérer intelligemment et plus comme une série télévisée dont les plans suivants s’enchaînent sans aucun suspense : « à l’abordaaaaage », « oups, je n’ai plus de munitions », « glou glou glou avec les poissons ». Et, entre nous, troquer un premier kilomètre trop rapide contre un dernier kilomètre beaucoup plus rapide que tous les autres, c’est quand même vachement plus stylé à raconter aux copains et aux copines. Allez, promis, mettre le frein à main le temps de quelques mètres pour ensuite débrider ton moteur et être en mesure de finir à fond les ballons (et plus comme un ballon crevé), c’est la vie que l’on mérite tou(te)s de mener en 2026. 💪🏼💪🏾
Arrêter de vouloir tester du nouveau matériel ou des ravitaillements inédits en course 🤡
Oui, on sait, il est tentant de porter la paire de chaussures flambant neuve pour laquelle tu as craqué sur le salon running expo lorsque tu es allé(e) chercher le dossard de ta course. C’est parfaitement logique de vouloir arriver pimpant(e) sur la ligne de départ, on se sent davantage en confiance, et notre motivation à en découdre s’en trouve décuplée. Mais n’oublie pas que ton objectif n’est pas la ligne de départ, mais la ligne d’arrivée. Comment souhaites-tu la rallier ? Stylé(e) mais les pieds perclus d’ampoules ? Jason Pointeau en a malheureusement fait l’expérience lors du marathon de Valence, et il ne portait pourtant pas des balles neuves (attention, ces images peuvent heurter la sensibilité des jeunes lecteur(trice)s).
On peut aussi imaginer que tu veuilles tester un ravitaillement inédit proposé par l’organisation de la course, et même si tu sais pertinemment que cela n’est pas conseillé, va savoir pourquoi, l’appel de ton estomac est plus fort… mais pas autant que celui qui s’ensuit 💩. D’ailleurs, chez Campus, nous avons mis en place le gut training pour pallier les désagréments digestifs et gastriques des coureur(se)s (de rien 👋). Bref, au cas où tu hésitais encore à en faire des tiennes en 2026, cette bonne résolution doit apparaître tout en haut de ta liste : on ne porte et on n’ingurgite que ce que l’on connaît le jour de la compétition. La seule surprise que l’on veut le jour J, c’est celle de la joie d’un objectif atteint (pour lequel on s’est entraîné(e) mais auquel on n’osait pourtant pas croire), d’un(e) supporter(trice) inattendu(e) ou tant attendu(e) qui nous encourage aux abords du parcours, ou une demande en mariage à l’arrivée.

Ne plus pester quand on est dans le dur et envisager « l’échec » autrement (ce qui est également valable dans la vie quotidienne, au travail, etc.) 🙈
Tu connais probablement ce sentiment d’en vouloir à la terre entière lorsque ta course ne se passe pas comme prévu. Gare aux supporter(trice)s qui s’aventurent à t’encourager et à te signifier combien tu es fort(e), ce qu’ils/elles risquent en retour n’est pas joli à entendre. Avec du recul, tu sais pourtant que tu es exécrable lorsque tu agis ainsi, mais dans le moment présent, c’est comme si tu ne pouvais pas t’en empêcher. Si c’est le cas, la prochaine fois que cela t’arrive, poses-toi les questions suivantes : « qui m’a forcé à courir cette course ? », « ai-je fourni un entraînement adapté à l’effort requis pour rallier la ligne d’arrivée ? », « ma mauvaise humeur va-t-elle me sortir de cette situation ? », « les autres y sont-ils pour quelque chose ? », et cætera.
Ainsi, plutôt que de subir ta course et de pester contre tout ce et celles/ceux qui t’entourent, tu vas apprendre à comprendre ce qui t’a amené(e) à ressentir toute cette rancœur. Et quand on comprend les choses, on est moins amer(ère), car on sait comment y remédier, et surtout, on apprend que les mauvais moments passent et laissent place à ce que nous sommes venu(e)s chercher en premier lieu : nous-mêmes (dans nos bons côtés, et pas seulement).
Penser davantage au « sport santé »/bien-être et moins à la performance 🧘
Le temps où l’on pensait que, pour progresser, il fallait constamment s’entraîner « comme un bourrin » est révolu. Cette méthode peut en effet fonctionner à court terme… jusqu’à ce que la blessure ou la rupture mentale nous contraignent à y mettre fin. Aujourd’hui (et plus encore chez Campus 🤓), nous avons compris que progresser (sur le long terme) requiert du temps, de la variété dans l’entraînement et de la régularité. Et tout cela s’inscrit dans une approche holistique de sa pratique. Autrement dit, une progression durable ne s’arrête pas à un entraînement assidu, mais à un art de vivre quotidien reposant sur le soin et le respect de soi, aussi bien physique que mental.
Et si, en 2026, nous capitalisions davantage sur notre santé globale, sur notre « bien vieillir », plutôt que sur la satisfaction immédiate du RP (= record personnel) qui tombe et qui n’est autre que le fruit d’une interminable surenchère motivée par l’ego ? Évidemment, il n’est pas question d’abandonner tout challenge ou volonté de dépassement de soi, mais d’ancrer cette soif de compétition (si elle a lieu d’être) dans une logique de bien-être. En bref, on ne se dépasse plus pour écraser l’autre ou pour lui montrer que nous sommes plus « fort(e)s » que lui/qu’elle, mais parce que nous prenons plaisir à nous surpasser grâce à lui/elle. Par ailleurs, cet amour de la compétition ne peut se vivre dans une vie parallèle, mais doit s’inscrire dans une logique de qui nous sommes véritablement, tous les jours ; à savoir, des personnes qui ont compris l’importance de prendre soin d’elles en renforçant globalement leur corps grâce au renforcement musculaire, aux étirements, à la mobilité articulaire, mais aussi à un sommeil soigné et à une alimentation variée, équilibrée, de préférence de saison, et ponctuée de plaisirs gourmands et récurrents. Un peu de tout pour ne manquer de rien, en somme.
Effectuer quelques entraînements sans musique ni podcast dans les oreilles pour éprouver sa véritable motivation 🍃
Rares sont celles et ceux qui résistent encore à la tentation de se planter une paire d’écouteurs dans les oreilles. Que ce soit pour se donner un supplément de motivation pendant une séance difficile, pour profiter davantage de son entraînement en musique, pour déconnecter plus facilement son cerveau, ou pour s’instruire en écoutant en podcast, courir avec de la musique ou un podcast n’offre décidément que des avantages… sauf un : celui de se connecter pleinement à son environnement, et par conséquent, à soi-même, sans artifices. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien que la FFA (la Fédération Française d’Athlétisme) interdit l’utilisation des écouteurs lors des courses qu’elle labellise : elle considère cet accessoire comme étant une aide à la performance. Et franchement, soyons honnêtes, c’est bel et bien le cas. Les fins de courses passent mieux en musique ; nous n’avons pas à fournir un effort supplémentaire pour nous divertir, ce sont nos écouteurs qui s’en chargent. Mais en ne courant jamais sans musique, nous passons à côté de quelque chose d’essentiel : l’expérience originelle de la course à pied, lorsqu’on se retrouve seul(e) face à soi-même, à notre souffle qui s’affole et à nos foulées qui martèlent le sol. Ne faisons pas la sourde-oreille à ce que notre corps nous crie lorsque nous courons : nous existons dans le silence autour de nous, même quand nous nous taisons et que seuls nos mouvements brisent le calme. Le son de notre mécanique est beau, il est la preuve que nous sommes vivant(e)s et que nous avançons coûte que coûte… et il est bien plus formateur dans notre expérience de coureur(se)s que les mélodies entêtantes de Taylor Swift (ne t’y méprends pas, nous sommes de véritables Swifties).
Arrêter de vouloir convaincre tout le monde que la course à pied est le meilleur sport au monde (non, ça, on peut continuer) 😈
On te voit d’ici, au repas de Noël, en famille, essayant de justifier ton programme de course et ton amour de la course à pied… et tentant, par la même occasion, de convaincre tout le monde autour de toi d’adopter ce sport également. Chaque année, c’est la même rengaine. Et tu te dis parfois qu’avec Tonton Roger, qui fume trois paquets de clopes par jour, c’est peine perdue. Eh bien, figure-toi que cette année, quelque chose a changé. En scrollant sur les réseaux, Tonton Roger est tombé sur une interview de Mathieu Blanchard, et il s’est dit que ce garçon était franchement inspirant (ne le prends pas personnellement, après tout, si tu ne lui avais jamais parlé de course à pied avant, il aurait probablement zappé cette interview ; donc, finalement, tout cela est beaucoup grâce à toi, et un peu grâce à Mathieu Blanchard). Et donc, on ne l’aurait jamais soupçonné, mais Tonton Roger court désormais sur les sentiers (en plus d’avoir arrêté de fumer), et il sait d’ailleurs bien s'en vanter entre les petits fours et les huîtres. Qui aurait cru que tu aurais finalement des atomes crochus avec ton Tonton ? Ta propagande porte ses fruits, tu es autorisé(e) à la poursuivre. 🥷

Réussir à tenir ses résolutions running (exemples, méthodes et conseils non-sollicités) 👀
Oui, réussir ses résolutions est une bonne résolution à elle seule. Aussi, notre premier conseil pour y parvenir est le suivant : s’il y a des résolutions que tu peines à tenir, n’abandonne pas toutes les autres. Il est parfaitement normal d’éprouver davantage de difficultés à appliquer certaines résolutions, tandis que tu en suis d’autres à la lettre… et sans que cela ne te coûte le moindre effort ! Par exemple, peut-être que respecter un plan d’entraînement est tout naturel pour toi, alors que penser à t'étirer est loin d’être un réflexe. Et c’est ok. Cela est en partie dû à tes prédispositions, à tes appétences, à ta forme physique et psychologique actuelle, mais aussi à l’impact que tout un tas d’éléments extérieurs ont sur toi et sur ton emploi du temps (charge mentale, vie personnelle et familiale, contraintes professionnelles, et cætera). Alors s’il y a certaines bonnes résolutions que tu peines à tenir, ne te flagelle pas en délaissant toutes les autres. En matière de résolutions, ce n’est pas « tout ou rien », mais a minima « un peu de tout ».
Dans cette optique-là, nous te recommandons de compartimenter tes bonnes résolutions, par exemple : la mobilité articulaire, le mardi ; la sortie sans écouteurs, le samedi ; et le footing en endurance fondamentale, le dimanche. De cette manière, tu libères ton esprit de la recherche constante de perfection dans le cadre de la réalisation de tes résolutions running.
Enfin, les bonnes résolutions étant des contraintes que l’on s’impose et qui requièrent une certaine discipline pour être accomplies, il est essentiel qu’elles nous parlent et nous appartiennent tout entières (c’est d’ailleurs pour cette raison qu’elles sont « bonnes » pour nous-mêmes, et pas forcément pour les autres). Elles doivent émaner de nous, de notre envie de nous améliorer et de nous rapprocher d’une meilleure version de nous-mêmes. Et si parfois, l’envie te prend de délaisser l’une de tes résolutions, essaye juste un peu de t’y tenir avant de jeter l’éponge. Tiens, par exemple, si tu souhaites écouter de la musique là où tu t’étais promis de courir sans écouteurs, cours au moins un kilomètre sans eux. Il faut s’envisager aussi fort(e) qu’on l’est réellement si on souhaite le devenir pour de bon. ✨
Les bonnes résolutions ont beau être culturelles et cycliques, si tu poses la question autour de toi, tu remarqueras que le sport arrive très souvent en tête de liste de ce que l'on se souhaite à soi-même en début d'année ! Cela peut sembler aberrant, et pourtant, la plupart des gens ont du mal à placer leur propre bien-être au centre de leur vie. Alors évidemment, on ne peut que souhaiter à chacun(e) de trouver l’activité physique qui lui permette de se vider la tête, de se dépenser et de se dépasser.
Quelles que soient tes bonnes résolutions pour démarrer la nouvelle année, n’oublie pas que la difficulté n’est jamais de les énumérer, mais de les tenir. Alors sois indulgent(e) avec toi-même, tu as une année entière pour y parvenir. 🙏 💪

Manon
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